mardi 29 décembre 2009

Tome I - Fin du Chapitre 6

L’aube pointait déjà à l’horizon. Du haut de cette montagne qu'ils avaient gravi dans la douleur, Arlann et Äars assistaient au spectacle magnifique et féérique que leur offrait ce nouveau jour naissant. Petit à petit, les milles couleurs qui composaient le paysage s’illuminaient et reprenaient leurs droits sur la nuit noire et glaciale, ravivant doucement la chaleur du jour.

***

Elle resta alors quelques secondes à admirer le paysage s'illuminer, sans faire un bruit, sans bouger, faisant de cet instant une éternité.

lundi 30 novembre 2009

[MAJ] Tome I - Chapitre 6

Les paillettes de glace enrobaient lentement la fine fourrure soyeuse de la petit bete. Le vent soufflait en continu depuis plusieurs minutes maintenant. Le ciel se couvrit doucement d'un manteau nuageux rondelet et perturbé. La lumiere diffuse de la lune ne perçait bientôt plus la nebulosité lourde et noire.

mercredi 25 novembre 2009

Tome I - Chapitre 6

Cela avance lentement, mais sûrement.

Le "nouveau" chapitre 5 s'est vu lui aussi divisé.

Naît alors le chapitre 6.

p141 pour 77

dimanche 8 novembre 2009

vendredi 6 novembre 2009

Éternité

Non, le dénouement du précédent chapitre "plug-in" ne doit pas être divulgué ici.

Alors voici le second "plug-in".

*** Chapitre "Plug-in" 2, partie 1/1 (oui 1) ***

Äars sentit son corps se détacher lentement de son esprit. Sans crainte et sans même se débattre, il se laissa dissoudre dans le néant. Il flottait dans un vide immatériel sans ressentir ni bien-être, ni douleur. Peu à peu, ses sensations revenaient, frôlant ses mains contre ses jambes. Le frottement de ses vêtements s'amoindrissait à chaque instant jusqu'à ne plus être audible. Son corps bascula. Il posa lentement ses deux pieds sur le sol, dans un clapotis cristallin. Lorsqu'il ouvrit les yeux, Äars se trouvait debout dans un espace d'une clarté aveuglante, blanc, sans horizon ni frontières. Il n'existait pas de bruit, pas d'ombre, pas de vent, pas de temps. Il n'éprouvait rien, il ne ressentait rien. Le sol le reflétait à l'identique, enveloppé d'une toge blanche immaculée comme celle que portait Arlann dans ses souvenirs. Il lui semblait que ce n'était que ça. Des souvenirs. Il lui semblait qu'il ne lui restait plus que des souvenirs de cet homme qui l'avait arraché à une horde de gragoles noires alors qu'il se trouvait encore sur Terre. Ses souvenirs de la Terre étaient vagues à leur tour, se précisant simplement le nom de son monde, sans réaliser qu'il en avait oublié l'essentiel, le temps qu'il y avait passé, la vie qu'il y avait vécu. Il regarda paisiblement autour de lui dans l'infini clarté qui le submergeait. Même ébloui, il regardait l'espace qui l'entourait, sans point auquel se rattacher. Peut-être était-ce cela la solitude. Son cœur ne résonnait plus dans sa poitrine. Qu'était la solitude ? Un sentiment ? Alors qu'il s'abandonnait à cette questions, il restait impassible, sans vouloir bouger, sans vouloir partir. Des minutes, des heures, peut-être des jours s'écoulaient sans qu'il ne veuille s'en rendre compte. L'infini ? L'éternité ? À cette question, son cœur s'élança, frappant son corps. À ce seul son qui fit résonner l'espace blanc dans lequel il se trouvait, des filaments dorés étincelant se mirent à fleurir autour de ses pieds et s'enroulèrent lentement autour de ses jambes, détaillant de fines feuilles argentées, se faufilant petit à petit autour de son corps tout entier, jusqu'à couvrir son visage puis ses yeux d'un voile d'un doré aveuglant. Son corps tout entier se relâcha et s'abandonna. Il bascula doucement en arrière, sans qu'aucun son se dégage de sa toge volant dans sa chute. Äars passa au travers du sol qui fondit dans une éclaboussure blanche et pailleté. Ce n'était ni de l'eau, ni un quelconque autre liquide. Pourtant, il sentit rouler sur lui des milliers de petites bulles qui le baignaient dans une chaleur enivrante, douce et calme. Il se sentit chuter pendant des heures qu'il ne comptait pas, sans jamais n'éprouver aucune douleur ni aucune crainte. Il se sentait bien, au chaud, rassuré. Il se laissait aller sans penser dans sa chute interminable.

jeudi 5 novembre 2009

En attendant demain...

Demain, je devrais repasser par ici... Mais, en attendant, vous pouvez
toujours suivre le lien ci dessous :

http://prince-of-persia-trailer.blogspot.com/

Je n'ai jamais joué au jeux sortis sur Playstation et je n'ai jamais
vaincu le premier boss de la version "amstrad", mais cette adaptation
au grand écran montre une fois de plus qu'énormement de choses sont
désormais possibles...

mardi 3 novembre 2009

Tome I - Chapitre 3... et 4

Ne pouvant être au four et au moulin, prenons les choses dans l'ordre...

Reformulons : Quel ordre ? En fait, il n'y en a pas.

Ce n'est pas aujourd'hui la mise en ligne du dénouement du premier chapitre "plug-in" qui reste à rédigé mais le rapport d'un état d'avancement.

J'avais précédemment mentionné la "longueur" du chapitre 3. Celui-ci a subit une simple division avec agréments d'usage.

Chapitre 3 devient 3 et 4. 4 devenant maintenant 5 et ainsi de suite.

Page 123 contre 71... Loin de moi l'intention formelle de mathématiser ma relecture mais... je n'arrive décidément pas à doubler ce fichu nombre de page !

En ce qui concerne le dénouement cité plus haut, il faudra attendre le jour du poisson !

vendredi 30 octobre 2009

[MAJ-2] ExRadux

Nous sommes Vendredi, jour du poisson ! Et dernier jour à travailler avant un week-end...
On m'a fait une demande particulière, j'y réponds ci-après.
L'idée est bonne, si bonne que ça m'a fait mal à la tête... Un 28 au soir (il y a deux jours), un dîner en tête à tête au restaurant s'est transformé en brainstorming où ça a pas mal stormé et où le petit carnet a été griffonné !

Ce qui suit intégrera l'un des livres. Où ? Quand ? Comment ? J'ai bien la réponse... mais sachez qu'il s'agit là d'une ébauche non contractuelle ;-)
Il s'agit d'un chapitre "plug-in" comme je l'appelle, c'est à dire un chapitre que je peux intégrer à n'importe quel moment, dans n'importe quel livre. Il en aura d'autres...

PS : Cela fait une heure et demie que j'ai commencé à rédiger ce post... j'hésite... j'hésite... oups, trop tard, j'ai cliqué !

*** Chapitre "Plug-in" 1, partie 1/2 ***

Lorsque Meranos tenta de se relever, il sentit la boursouflure de l'os brisé de son aile toucher le sol froid, gelé par le sort de Ghys qui venait d'acquérir sa nouvelle puissance. Il avait hérité du décès du mage de glace ses facultés à manipuler cet élémentaire. Une aura grisâtre émanait de son corps au travers de ses vêtements d'un blanc sale, entaché par la boue et les éclaboussures de la pluie sur le sol noir. Des pluies torrentielles s'abattaient depuis maintenant six heures sans discontinuer. Les nuages descendaient jusqu'à donner l'impression que l'on pouvait les toucher. Le tonnerre commençait à gronder et faisait vibrer les pierres sur ce flanc de montagne. Certaines déjà en déséquilibre dégringolaient finalement le versant, aidées par des torrents d'eau et de boue.
– Ces haillons blancs ne m'iront jamais. Je n'appartiendrais jamais à votre fratrie. Vous m'avez banni, cria-t-il de tout son coeur et tirant dessus comme pour les arracher. Rursus Vestis, murmura-t-il en entaillant son torse du fil de sa lame d'airain.
Les vêtements s'agitèrent subitement. Un rideau de fumée noire tourbillonna autour de lui jusqu'à le rendre indiscernable et des filets de sang s'enlaçaient autour de lui. Soudain, l'agitation cessa. L'écran de fumée se leva et s'évapora dans l'air. Ghys était recouvert d'une robe noir, le visage dissimulé derrière une capuche épaisse et lourde. Meranos, dans un cri perçant emplit de douleur, se remit sur ses pattes aux griffes acérées. Un épais filet de sang coulait entre les fines plumes du haut de son crane jusqu'au bout de son bec, avant de se concentrer en lourdes gouttes qui se dispersaient sur le sol froid.
– Je n'en ai pas fini avec toi, ricana Ghys en se tournant vers le faucon. Meranos reprit forme humaine, n'ayant plus les forces pour se maintenir transformé. Son totem s'évapora dans une fumée marron découvrant un corps massif et bien sculpté. Son bras laissant quant à lui transparaître la blessure de l'aile. L'os semblait brisé au milieu du biceps et formait un angle douloureux lui déchirant le muscle. Meranos ne criait pas. Il souffrait en serrant les dents aussi fort qu'il le pouvait. Ghys s'approcha de lui dans la hâte et lui attrapa les cheveux. Il le souleva d'un coup, l'obligeant à heurter son bras sur le sol qui raviva la douleur qu'il tentait d'oublier. Ghys regarda la morsure présente sous son avant bras, celle que Meranos lui avait faite un peu plus tôt durant leur combat.
– Tu m'as fait mal Meranos. Je ne vais pas te laisser ainsi... lui lança doucement Ghys en ricanant, comme s'il parlait à un enfant, sans lâcher la morsure des yeux qui n'avait presque rien d'humaine.
Celle ci avait été faite alors que Meranos se changeait en faucon. La chair était très marquée sur l'extérieur de la blessure puis coupée et enfin arrachée au milieu, lorsque le bec puissant de Meranos eut sentit la prise sur le bras. Les lacérations sur le bras due aux griffes ne perturbaient pas plus Ghys que la foudre qui commençait à s'abattre autour d'eux. Si proche que chaque détonation les assourdissait davantage. Ghys prenait un malin plaisir à puiser l'électricité des éclairs qui frappaient le sol et à la concentrer au bout de sa main, la laissant se diffuser dans le corps de Meranos par décharges juste après lui avoir permis de toucher le sol du bout de ses pieds pendant. – Ne t'endors pas, lui rappela Ghys en le secouant par les cheveux. J'ai presque fini... Il le regarda droit dans les yeux. Son regard noir et détraqué pénétrait le crâne de Meranos, vibrant et sifflant. Il comprit instantanément que ses souffrances allaient bientôt s'achaver dans une vague de douleur effroyable qu'il ne pouvait encore imaginer.
– Arl... Arlann... grogna Meranos les dents serrées alors que Ghys prenait un plaisir vicieux à faire pression de son genoux contre son os brisé.
– Arlann ne viendra pas, Meranos. Pas tout de suite...
– Il... te retrouvera... étouffa Meranos en clignant frénétiquement des paupières, tentant de se maintenir alerte.
Ghys le souleva et le jeta dans les airs, à plusieurs mètres au dessus du sol, en dégainant son sabre d'airain rouge sang. De la pointe de son arme et prononça un incantation que Meranos n'avait encore jamais entendue.
– ExRadux ! Le corps de Meranos planait dans les airs, figé, la pluie ruisselant sur son visage, coulant sur la boursouflure de son bras cassé.
Il sentit ses doigts s'engourdir, puis ses mains. À mesure que la sensation le prenait, ses membres s'étiraient, s'articulant contre sa volonté. Il força pour se maintenir immobile, mais la douleur de son bras le ramena à la réalité. Son bras cassé se tendit, remuant l'os brisé de son membre tuméfié. Meranos contenait sa douleur tant qu'il le pouvait. Il serrait les dents, sentant les bouffées de chaleurs lui embrumer l'esprit, faisant vaciller son regard. Son corps s'était mis en croix, les bras et les jambes tendus. L'engourdissement prit alors son cou puis son crâne. En quelques secondes, son corps était devenu, pour lui, aussi dur que la roche. Sa bouche força puis s'entrouvrit finalement sans qu'il ne puisse la refermer. Meranos était complètement impuissant, manipulé comme un poupée de chiffons. Il voyait défiler devant ses yeux le spectacle de sa mort sous une pluie battante. Comme si son visage avait voulu fuir en avant, sa tête s'avança avec force dans un à-coup qui lui fit craquer quelques os de la nuque qui résistait assez pour ne pas se briser. D'un mouvement de sabre, Ghys fendit l'air. Une douleur insupportable parcourut la mâchoire de Meranos. Il sentit ses gencives se gonfler et tirer sur son crâne. D'un coup et dans un cri d'horreur épouvantable, les dents de Meranos se déchaussèrent de ses mâchoires et s'arrachèrent, s'expulsant violemment du bain de sang qui emplissait sa bouche. Les yeux révulsés et son corps convulsant, Ghys relâcha son étreinte magique et laissa le corps de Meranos choir comme un patin désarticulé dans la boue qui dévalait le flanc de la montagne. La lueur du sabre d'airain devint éclatante, écarlate, galvanisée par le sort opéré par Ghys qui se tordait à son tour de douleur. Meranos assistait au spectacle mais ne comprenait plus rien de ce qui se passait. Son esprit était torturé par la douleur qui s'était emparé de son corps tout entier.

mardi 27 octobre 2009

Tome 1 - Chapitre (très long) 3

Il avance. Il est plus complexe que je ne pensais. Il pose les rapports entre les différents membres du groupe... Il ne faut pas trahir leurs sentiments respectifs tout en laissant présager ou deviner certaines choses...

À titre indicatif : page 96 pour 54 sur la version 1.

mercredi 14 octobre 2009

Tome I - Chapitre 3 suite

Ce chapitre est décidément très long... il va finir par être divisé en deux plus petits.
Mais cela avance.

Le travail pendant la journée n'aide pas, en ce moment, et depuis un bon moment maintenant, à être dans les meilleures conditions pour se plonger dans une relecture cohérente et efficace...

Mais à titre indicatif, le premier mot de la page 47 dans la première version est aujourd'hui dans la première ligne de la page 80...

mardi 29 septembre 2009

Chapitres Bonus...

Je sais je sais, cela prend du temps...

Mais le sort ExRadux m'a donné du fil à retordre...

dimanche 6 septembre 2009

Tome I - Chapitre 3

Lorsque j'étais à l'école - il me semble que c'est si loin maintenant - j'avais une ligne de conduite très stricte en matière de rédaction : NE JAMAIS RELIRE. Relire, c'est se rendre compte d'erreurs, certes, mais aussi se contraindre à reformuler, à revisiter, à changer ce que l'on a écrit.
Outre le fait de coucher sur des pages blanches les idées tordues qui fusent dans ma tête, le plus dur est de me relire. À l'école, un coup d'effaceur magique et la copie devenait horrible, détrempée par le liquide de ce produit miracle, puis encore pire lorsque l'on venait à réécrire avec le côté bleu, qui n'avait jamais la même couleur de bleu que le stylo plume que j'utilisais.
Aujourd'hui, sur l'ordinateur, deux coups de souris, un clic ou deux et quelques "Pomme C - Pomme V" plus loin, vous avez réorganisé une idée, donné une autre orientation à une phrase. Mais venir décrire ce que l'on imagine être au second plan et donc, pas forcément nécessaire de prime abord, est la chose la plus dur à mes yeux, pour l'instant.
Les choses prendront plus de temps que je ne le pensais.

Sinon, TOME 1 - Chapitre 3 : + 4 pages.

mercredi 19 août 2009

Tome I - Chapitre 2

Relu - corrigé.

+ 12 pages.

mardi 11 août 2009

Deuxième Tome

Quelle est la subtilité entre Deuxième et Second ?

Second reste seul tandis que Deuxième induit Troisième...

jeudi 30 juillet 2009

Et si je ne voulais pas finir...

Un moment de flottement, de relâchement, puis c'est tout un sentiment qui me prend...

Un soir, je me suis récité toute la trame du deuxième (et normalement dernier) tome, pour savoir si ça tenait la route, si je raccordais bien les bouts avec le premier, pour savoir si j'y avais bien incorporé tout ce à quoi j'ai pensé.

À cet instant, j'ai eu ce sentiment étrange, cette sensation d'un vide au fond de moi, d'une absence, de quelque chose d'éteint... Pendant plus de dix ans, j'ai rêvé de toutes ces scènes que je m'efforce de décrire.

Si demain, j'écrivais la dernière ligne...
Si demain, j'écrivais la dernière ligne !
Si demain, j'écrivais la dernière ligne ?

Si demain je venais à écrire la dernière ligne, il subsisterait un manque que je ne saurai pas combler, parce que ce sera fini, figé, écrit... et cela ne pourra plus vivre dans ma tête et dans mon cœur.

C'est pour cette raison que j'avance, malgré moi, plus lentement.

Je le finirai, parce que je le veux.
Je le finirai, parce que j'en rêve.
Je le finirai, parce que j'ai commencé.
Je le finirai, parce qu'aujourd'hui, certains attendent la suite.

Je le finirai, parce que toute histoire a une fin.

lundi 13 juillet 2009

Tout le reste...

Je m'étais dit : deux semaines de vacances au soleil, avec un programme "ne rien faire", tout cela ne pouvait que me laisser le temps d'avancer... Il n'en est rien !

Mais

Lors de ma plongée, pendant près de 2 heures, les idées pour la suite, différents enchaînements de "scènes" déjà prêtes, tout est arrivé jusqu'à mon petit cerveau alimenté par ma bouteille d'air. Du coup, le programme est le suivant :
Ce soir, j'écris tout ce à quoi j'ai pensé.
Demain, relecture avec le premier lecteur, complétion, réflexion, imagination... avec les bains de mer et les palmes.
Après demain, fermeture des valise, recharge des batteries pour l'avion et écriture.

À bientôt

jeudi 18 juin 2009

Tome II

Nous sommes jeudi 18 juin, il est 9h30 et je suis devant mon bureau depuis 27 minutes exactement. Impossible de penser à autre chose que ce second tome.

Je suis en vacances demain soir à 18h30... Il sera temps de s'y mettre : 1 semaine pour commencer puis 2 semaines à écrire sous les cocotiers.

C'est terrible de se sentir freiné par le travail, plaqué au sol par les réalités techniques, lorsque votre tête est dans un autre monde...

Vivement demain soir.

mardi 16 juin 2009

Avis aux premiers (re)lecteurs !

Sans vouloir vous orienter, je vous invite effectivement à faire vos pronostics quant au futur et au passé des personnages que vous avez rencontré au fil des pages.
Mais, d'après Gandalf, ne soyez pas trop prompt à dispenser mort et jugement.

Et puis un Tome II, ça sert à quoi ?

Dans l'attente du comité de relecture tropical !

vendredi 12 juin 2009

Tome II

Vouloir publier un livre n'est pas quelque chose de simple... lorsque l'on ne veut pas passer par la case éditeur. Donc je cherche.

La trame générale du tome II est presque terminée.

lundi 8 juin 2009

Relecture Tome I

Une remarque intéressante a été faîte : et pourquoi pas 300 pages
de plus pour ce tome ?

Pourquoi pas ! Je vais relire encore une fois.

jeudi 4 juin 2009

Relecture, suite et fin !

Première relecture du Tome I faite : corrigé, conjugué, reformulé, enregistré, "backupé" 12 fois + restauration de backup pour être sûr !

Prochaine étape, finir d'écrire la suite... et fin.

mercredi 3 juin 2009

Relecture, suite 6 !

Chapitre 7, corrigé ! Un dernier encore.

mardi 2 juin 2009

samedi 30 mai 2009

Propriété intellectuelle 2

J'ai reçu l'accusé de réception.

vendredi 29 mai 2009

Relecture, suite 4 !

Chapitre 5, corrigé !

mercredi 27 mai 2009

Propriété intellectuelle

Le paquet que je me suis envoyé est arrivé. Je suis passé à la poste (18 minutes) pour récupérer le manuscrit. J'attends maintenant l'accusé de réception !

Relecture, suite 3 !

Chapitre 4, corrigé !

Relecture, suite 2 !

Chapitre 3, corrigé.

mardi 26 mai 2009

Relecture, suite !

Chapitre 2 : corrigé.

Relecture

Le pas de la première lecture à un public (dans un cercle restreint) ayant été franchi, et en attendant les remarques, il est tant de relire ce que j'ai fait !

Le premier chapitre a été corrigé.

lundi 25 mai 2009

Tome 2

La trame du premier chapître du Tome 2 est décrite, j'ai commencé la rédaction.

dimanche 24 mai 2009

Premier Manuscrit

Simple

Le premier manuscrit a été imprimé en 3 exemplaires :
- Un premier envoyé à moi-même en AR.
- Un second pour moi-même.
- Un troisième pour mon père.