Outre le fait de coucher sur des pages blanches les idées tordues qui fusent dans ma tête, le plus dur est de me relire. À l'école, un coup d'effaceur magique et la copie devenait horrible, détrempée par le liquide de ce produit miracle, puis encore pire lorsque l'on venait à réécrire avec le côté bleu, qui n'avait jamais la même couleur de bleu que le stylo plume que j'utilisais.
Aujourd'hui, sur l'ordinateur, deux coups de souris, un clic ou deux et quelques "Pomme C - Pomme V" plus loin, vous avez réorganisé une idée, donné une autre orientation à une phrase. Mais venir décrire ce que l'on imagine être au second plan et donc, pas forcément nécessaire de prime abord, est la chose la plus dur à mes yeux, pour l'instant.
Les choses prendront plus de temps que je ne le pensais.
Sinon, TOME 1 - Chapitre 3 : + 4 pages.
tiens c'est marrant j'avais la même ligne de conduite mais simplement en dictée. je ne trouvais jamais les fautes que j'avais fait mais par contre j'en ajoutais de nouvelles. En rédaction c'était plus pour rajouter des trucs ce qui me valait des "hors sujet" et autres "digressions inutiles" en marge de ma copie...
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