mercredi 28 juillet 2010

Mais pourquoi...

... s'entêtent-ils à proposer des films en 3D (dans les salles équipées !) alors que les résultat n'y est pas ?

Le film "Le Dernier Maître de l'Air" retranscrit parfaitement l'univers de l'Avatar, le seul être pouvant manipuler les quatre éléments et ainsi maintenir la paix entre les nations de l'Air, de l'Eau, de la Terre et du Feu. Tous les personnages y sont parfaitement représentés, jusqu'à l'histoire elle-même, ce qui est devenu rare. Certains réalisateurs apportent souvent leur petit grain de sel faisant grincer la mécanique…

Mais, pourquoi se permettent-ils de proposer le film en 3D lorsqu'elle est quasiment inexistante ?
Tout commence bien avec la petite animation du logo Paramount. Très efficace, elle nous plonge instantanément dans "l'univers" 3D. Les effets d'eau et de feu traversent l'écran, c'est bluffant. Mais après…

La 3D est inutile ! Ah, si ! Pour les sous-titres… (oui, ils ont mis les sous-titres en "relief" pour être sûr de ne pas les manquer...)

Je reste convaincu que cette technique peut être bénéfique pour un film. Encore faut-il avoir assez de talent pour en user ou tout simplement, avoir compris que le film doit être tourné différemment. Ces lunettes ridicules que l'on nous fait porter nous permettent d'être dans la scène, et non plus d'en être que simple spectateur...

Les + en 3D : Avatar de James Cameron & Dragons !
Les - en 3D : Le Dernier Maître de l'Air, Toy Story 3 (oui oui, même lui !)

dimanche 25 juillet 2010

Loin...

... là-haut, il se conte un récit épique.

Je suis toujours la tête levée vers le ciel, même lorsqu'il pleut averse. Les nuages ont toujours des formes différentes, imparfaites, sinueuses, menaçantes... Mais, loin là-haut, mes rêves s'évadent et voguent aux gré des mouvements d'air, se laissant entraîner inexorablement vers l'horizon. Et, lorsque je suis assez haut, assez loin, je tombe.

Que fait ressentir une chute libre ? Comment un corps réagit-il lorsqu'il déploie ne serait-ce qu'un bras lors de cette chute ? Comment contrôle-t-on son corps en s'appuyant sur l'air ? Qu'elle température fait-il là-haut ? Quelle sensation procure la traversée d'un énorme nuage blanc ? Le corps subit-il un traumatisme de cette lutte contre l'air ? Comment ? Des courbatures ? Un déséquilibre momentané ? Le vent fouette-t-il le visage ou semble-t-il ruisseler sur la peau ?

Je veux ressentir ces sensations que je ne tente de décrire qu'en les imaginant.



PS : page 305 pour 143... encore 85 à relire...

lundi 12 juillet 2010

Il est une façade...

... qui ouvre le premier chapitre...

48.820533,2.395362

mardi 6 juillet 2010

La musique...

... m'accompagne, à chacun des pas qui me mène à la réalité. Mes pas s'alourdissent sur le bitume noir dont la température ne cesse de monter, mon esprit est encore embrumé par le sommeil. Lorsque je regarde autour de moi, les carcasses de métal sur roues motrices hurlent, rugissent et exhalent leurs relents d'hydrocarbures sans jamais s'arrêter, retenant leurs conducteurs prisonniers.

Mais, lorsque je marche, je cherche, dans les feuillages dansant des arbres, dans le ciel parfois limpide, parfois floconneux, dans les gouttes de pluie et leurs éclaboussures, une étincelle, l'étincelle qui me fera frémir, l'étincelle qui me transportera.

Je me demande souvent, sur le trajet qui me mène à la réalité, pendant près d'une demie heure qui semble de plus en plus court chaque jour, si je ne m'égare pas. Mais jusqu'où suis-je capable de m'enfoncer ?
Le crainte, certainement, de n'être plus capable de refaire surface.

Alors la musique m'accompagne. Ma playlist est loin d'être ordinaire, elle est personnelle.
Et il est un thème qui m'accompagnera toujours...

http://www.simple-lelivre.com/partage/to-zanarkand.mp3