mardi 7 décembre 2010

...disparaissant du monde.

Je ne compte plus le nombre d'heures passées dans l'obscurité, avec pour seule lumière celle du rétro-éclairage du clavier du PowerBook vieillissant, diffusant un son strident d'un disque dur qui gratte à chaque touche pressée. Je ne compte plus le nombre d'heures semblant perdues durant les lesquelles je suis resté bloqué face à une tournure de phrase récalcitrante, une idée informe, un mot inapproprié. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai dit "à demain" alors que cela aurait dû être "bonne nuit".

J'ai achevé l'écriture du premier tome. Puisse-t-il vous plaire...

Enfin, je suis heureux de dire

Bonne nuit...

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